Performance – Xavier Veilhan

Studio Venezia de Xavier Veilhan

Le Pavillon français de la Biennale de Venise 2017 est transformé par Xavier Veilhan en un dispositif musical dans lequel des musiciens professionnels du monde entier, invités par l’artiste et les commissaires du pavillon, Christian Marclay et Lionel Bovier, interviennent pendant toute la durée de la manifestation.

L’installation joue sur les volumes et les décors de l’espace du Pavillon français en s’inspirant de l’univers du « studio », qui désigne à la fois le studio d’enregistrement, et le studio de l’artiste.

à la 57e Biennale internationale d’art de Venise

Documentaire Veilhan a Venezia

– Photos © Pozzan Martina

DIVINE FÉMININ

« Divine Féminin, spectacle prémonitoire d’une histoire féminine à écrire, un titre en hommage aux héroïnes sacrifiées qui ont ouvert la voie de nos consciences d’aujourd’hui. »
— Solrey

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NOUVELLES VAGUES

« “Nouvelles Vagues”, titre évocateur pour un spectacle qui retrace la liberté et le rêve des années 60 où la musique de films prend son envol et devient un personnage à part entière. Un programme qui ouvre une voix musicale nouvelle et offre une narration loin de l’illustration. »
— Solrey

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QUAI DE SCÈNES

« “Sous le pont Mirabeau coule la Seine”, ville lumière ayant inspiré le compositeur Alexandre Desplat, amoureux de ses quais et de son histoire musicale. Ses partitions m’ont inspiré cette ballade romantique et poétique au gré de ses ponts. Les revisiter pour ce programme représente aussi la passion que nous partageons ensemble de la musique et du cinéma. »
— Solrey

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ELDORADO

« En 3e classe Transatlantique, venant d’Istanbul, de Shanghai ou de Naples, en quête de l’Eldorado, ils deviennent chercheurs d’or, cowboys ou gangsters. Elia Kazanzoglou, le fils de l’un d’eux deviendra l’un des plus talentueux metteurs en scène sous son nom américanisé : Kazan. Hollywood est né, de Star Wars aux loosers d’un Eldorado sans pitié, les compositeurs de la Mittel Europa inscriront leurs partitions au Panthéon des chefs-d’oeuvres. »
— Solrey

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