Opéra d’Oslo – Den Norske Opera & Ballett

Alan Lucien Øyen: Nothing Personal

12 octobre – 2 novembre 2023
Une nouvelle production impressionnante mêlant danse et théâtre

Avec une combinaison unique entre le ballet et la magie théâtrale, Alan Lucien Øyen repousse les limites de ce qui est possible dans un spectacle de danse. Il révèle maintenant une partie plus obscure de notre époque.

Danse-théâtre cinématographique 

Lorsqu’Alan Lucien Øyen fusionne une fois de plus la danse et le théâtre pour créer un décor dramatique, il ne faut s’attendre à rien de moins qu’à de l’imaginaire et du dystopique. Le mot « cinématographique » est souvent utilisé pour décrire l’art d’Øyen et, cette fois, il a engagé le compositeur de films oscarisé Alexandre Desplat pour écrire la musique et Solrey pour diriger l’orchestre de l’opéra.

Alan Lucien Øyen : chorégraphie et mise en scène
Alexandre Desplat : musique
Solrey : cheffe d’orchestre
Ballet National de Norvège, Orchestre de l’Opéra National de Norvège

– Photos © Erik Berg

Informations pratiques

Représentations

Durée: 3 heures avec un entracte

Jeudi 12 octobre 2023 à 19h00 (première mondiale)
Dimanche 15 octobre 2023 à 18h00
Mardi 17 octobre 2023 à 19h00
Dimanche 21 octobre 2023 à 18h00
Mercredi 25 octobre 2023 à 19h00
Jeudi 2 novembre 2023 à 19h00

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Opéra d’Oslo (Norvège)

Lieu: Scène Principale, Den Norske Opera & Ballett
Kirsten Flagstads pl. 1 N-0150 Oslo (Norvège)

DIVINE FÉMININ

De Virginia Woolf à María Callas, de Camille Claudel à Marilyn, un concert en images pour lequel Solrey conjugue les partitions emblématiques du 7ème Art transcrites pour le Traffic Quintet à des projections vidéos qu’elle réalise.

Réssuscitant la mémoire de nos icônes éternelles au travers des oeuvres cinématographiques telles The Misfits, Basic Instinct, The Hours ou encore Virgin Suicides, et des oeuvres de Ange Leccia et de Jacques Monory.

Au travers d’un montage imaginaire, extatique et vibrant, Solrey, offre ici un cinéma des songes envoutant où le couple musique/image forme un duo émouvant, puissant et fusionnel qui plonge le spectateur dans un univers inconnu à découvrir…

« Divine Féminin, spectacle prémonitoire d’une histoire féminine à écrire, un titre en hommage aux héroïnes sacrifiées qui ont ouvert la voie de nos consciences d’aujourd’hui. »
— Solrey

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NOUVELLES VAGUES

Jamais à proprement parler d’illustration. Très peu de références à ce cinéma dont on écoute ici, retranscrites, les bandes originales. Abstraite et sensuelle à la fois, c’est une « bande-image » qui enveloppe les airs enfouis, les souvenirs de salles obscures, un patrimoine recomposé. Images quasi subliminales. Nul carcan mémoriel.

« “Nouvelles Vagues”, titre évocateur pour un spectacle qui retrace la liberté et le rêve des années 60 où la musique de films prend son envol et devient un personnage à part entière. Un programme qui ouvre une voix musicale nouvelle et offre une narration loin de l’illustration. »
— Solrey

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QUAI DE SCÈNES

La Seine est intemporelle, insaisissable, parfois sur ses rives une valse légère se laisse entendre et anime le temps d’une guinguette éphémère ses nuits blanches. Au détour des ponts traversés, les valses de « Coco avant Chanel », « Chéri », « La jeune fille à la perle » flottent au dessus du fleuve évoquant ce cinéma poétique.

« “Sous le pont Mirabeau coule la Seine”, ville lumière ayant inspiré le compositeur Alexandre Desplat, amoureux de ses quais et de son histoire musicale. Ses partitions m’ont inspiré cette ballade romantique et poétique au gré de ses ponts. Les revisiter pour ce programme représente aussi la passion que nous partageons ensemble de la musique et du cinéma. »
— Solrey

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ELDORADO

Pour cet « Eldorado », Solrey, sur des images de Dominique Gonzalez-Foerster et Ange Leccia tournées dans l’ouest américain, nous propose une déambulation musicale où le plein et le vide, la réussite et l’abandon, le désert et la mégalopole trouvent en un même tempo, la mesure du rêve américain…

« En 3e classe Transatlantique, venant d’Istanbul, de Shanghai ou de Naples, en quête de l’Eldorado, ils deviennent chercheurs d’or, cowboys ou gangsters. Elia Kazanzoglou, le fils de l’un d’eux deviendra l’un des plus talentueux metteurs en scène sous son nom américanisé : Kazan. Hollywood est né, de Star Wars aux loosers d’un Eldorado sans pitié, les compositeurs de la Mittel Europa inscriront leurs partitions au Panthéon des chefs-d’oeuvres. »
— Solrey

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